L’été - Victor Hugo
C’est une fête en vérité,
Fête où vient le chardon, ce rustre ;
Dans le grand palais de l’été
Les astres allument le lustre.
On fait les foins. Bientôt les blés.
Le faucheur dort sous la cépée ;
Et tous les souffles sont mêlés
D’une senteur d’herbe coupée.
1837 dans son recueil Les Feuilles d’automne
Je suis Victor Hugo, né en 1802, et ma poésie explore les grandes questions humaines, de l’amour à la liberté, tout en célébrant la beauté du monde naturel. Dans mon poème L’été, je parle de cette saison comme d’un temps de lumière et de chaleur, mais aussi de grandeur. L’été, pour moi, est un moment où la nature s’épanouit dans toute sa splendeur, où chaque rayon de soleil semble porter une signification plus profonde. Dans ce poème, j’exprime ma fascination pour la lumière estivale et la vie qui en jaillit, mais aussi l’impression que cette lumière éclaire des vérités plus grandes sur la condition humaine. J’aime utiliser l’été comme un symbole de la vitalité, de la force et de la beauté qui résident dans le monde naturel, tout en montrant que la nature elle-même est une source d’inspiration pour la poésie et pour la réflexion.